Dès l’enfance, mon besoin de dessiner et de peindre a toujours fait partie de ma vie.

Adolescente, je dessinais des vêtements de mode pour enfants que ma mère, couturière de talent, créait pour un atelier.

Durant ma carrière hospitalière, mes horaires décalés me permettaient de suivre les cours aux Beaux-Arts de Toulouse, cours que je fréquentais assidûment.
Apprentissage de différentes techniques : Dessin, peinture, modèle vivant…

A partir de 1986, j’intègre différents ateliers, dont celui du peintre Paul Leberger qui m’a fait découvrir le bonheur intense du travail sur le motif.

Les années 2010 marquent mon orientation vers l’abstraction. Besoin de traduire mon imaginaire, entre rêve et réalité.

Il faut voir dans la peinture abstraite, comme on écoute la musique, sentir l’intériorité émotionnelle de l’oeuvre sans lui chercher une représentation figurative quelconque. Ce qui est important, ce n’est pas de voir l’abstrait, mais de le sentir.
Gérard Schneider (1896-1986)

 

Actuellement, j’alterne plusieurs techniques selon mon inspiration du moment et reprends quelquefois le chemin du figuratif, juste pour le plaisir de représenter une ambiance, un moment fugace dont je veux garder le souvenir.